Laura Zanatta

Laura Zanatta est née à Tournai en 1993. Elle grandit entourée d’animaux dans un tout petit village appelé Brasménil. C’est sans doute comme ça que commence sa passion pour l’observation et la physicalité.
Les parents de Laura la sensibilisent à l’art très jeune. Dès l’âge de 6 ans, elle suit des cours d’expression corporelle, de musique, de dessin ainsi que des cours de déclamation et de théâtre. En grandissant, elle gardera ce goût de la diversité ; suivant des cours de danse classique, de tango, de jazz ; pratiquant également le piano et le violoncelle. Son emploi du temps se divise alors entre l’école, l’académie et les prairies. C’est surtout au théâtre qu’elle trouve son bonheur.
En 2013, l’aventure commence; Elle est admise à ARTS² (Mons) où elle a l’opportunité de travailler avec des metteurs en scène tels que : Yasmina Douieb, Michael Delaunoy, Lorent Wanson, Pascal Crochet, Sylvie Landyut, Yasmine Lasshaal, Edith Depaule et bien d’autres encore. En 2017 elle danse dans « Fractal » de Clément Thirion (Kosmocompany) au théâtre de la Balsamine (Bruxelles), au théâtre de Namur, et au théâtre le Manège de Mons/ MARS (Mons Arts de la scène). Pour clôturer sa formation à ARTS² elle se lance dans l’écriture d’une pièce de danse-théâtre « Kaléidoscope » dans laquelle elle aborde la thématique du corps.
La pièce a été jouée dans plusieurs festivals belges tels que le Festival Tout Mons Danse, Cocq’arts festival , Festivaleke, Festival Courant d’Airs. Aujourd’hui avec le soutien du Boson et du Centre des Arts Scéniques, « Kaléidoscope » aspire à être très prochainement visible dans les théâtres.
En 2018, afin de gagner plus d’autonomie, Laura décide de suivre la formation à la production (FET) proposée par Théâtre & Publics. En 2019 elle rejoint la compagnie de l’Absolu pour se charger de la production du projet « l’Attente ».
En 2020-2021, elle se charge de la mise en scène du projet "Dame Blanche" avec la compagnie des Adorables Vilaines.
Laura fait du théâtre tout d’abord et simplement parce qu’elle aime ça. Parce qu’elle est intéressée, par les corps, les voix, les thématiques, par la recherche ; par le partage.